L'album
"Il y a quelque chose de lumineux chez cette artiste originaire d'Italie".
Un premier album poétique et élégant remarqué (Grand Prix Unac-Sacem 2018) .
“Il y a quelque chose de lumineux chez cette artiste originaire d'Italie. De ses périples entre Londres, Gorée, Rome, le Cap-Vert ou encore Pondichéry (où elle a pris ses premiers cours de chant), Sarah Zeppilli a conservé un goût affiché pour les mélodies ensoleillées, les rythmes jazzy ou la pop. Hormis dans la chanson qui donne son titre à l'album, il est finalement peu question de larmes. Quant aux hommes, ils apparaissent en filigrane dans des textes qui oscillent entre légèreté et douce mélancolie. La jeune femme parle chiffons avec "Le moins j'en mets", de la séduction des "Filles aux cheveux longs", joue finement la carte du double sens dans "Mon endroit, mon envers"... Mais c'est surtout avec des titres comme "Little Lullaby" ou le très réussi "J'avais oublié Paris", qu'elle nous embarque sans réserve. Grâce aussi aux arrangements de David Berland et Pascal Rodde (Jane Birkin, La Grande Sophie). A l'écoute des morceaux, on pense parfois aux débuts de La Grande Sophie ou de Daphné. Au Zèbre de Belleville où elle fêtait la sortie de "Larmes d'homme", Sarah, qui a déjà assuré les premières parties de Zaz ou de Thomas Dutronc, a séduit et touché le public avec son timbre mélodieux, ses histoires de filles et une certaine fragilité. Un premier opus qui donne envie de la suivre...”
(merci à) Annie all Music.
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